Susan Burnstine
In Dreams
La ville moderne brûle, les solides murs de pierre se liquéfient, les ponts s'affaissent, la jeune fille erre en chemise de nuit blanche... Prises par la photographe Susan Burnstine, ces somptueuses images sont exposées pour la première fois à Paris, à la galerie Catherine et André Hug.
Pour réaliser les œuvres présentées dans cette exposition, Susan Burnstine consigne au réveil, dans un journal, les rêves qu'elle fait la nuit, puis sort prendre des photos. Elle ne planifie rien à l'avance. Elle se contente d'errer jusqu'à ce que quelque chose la saisisse. Elle cherche un symbole ou une métaphore qui représente le rêve qu'elle a fait la nuit précédente, puis elle crée l'image. Elle n’explique pas les métaphores ou les symboles car le processus est personnel pour elle-même et pour les spectateurs.
Dossier presse
Niv Rozenberg
Summit part II
Niv Rozenberg continue son exploration des sommets des plus belles architectures américaines.
Un magnifique Portfolio composé de 8 sommets iconiques de New York est présenté à la galerie jusqu'au 19 octobre entouré par ses grandes pièces à l'élégance et à la pureté incontestable.
Dossier presse
Olivia Fougeirol, Marianne Barthélémy, Christa Funk, Camille Robiou du Pont, Maria Fernanda, Sara Guix, Tahnei Roy, Cristina Gareau, Karo Krassel, Ming Nomchong,Serena Lutton , Will Adler, Leroy Grannis,
Surfin’Girl Surfing
Elles ont comme dénominateur commun l'amour de la glisse et sont la preuve que l'histoire du surf s'écrit aussi au féminin.
Photographes professionnelles, réalisatrices , globetrotteuses, surfeuses, elles consacrent leur temps à l'Océan et ont chacune un lien singulier avec ce dernier.
La galerie leur dédie cette exposition " Surfin'girl surfing " et pour les accompagner deux photographes iconiques du surf dont l'amour pour le surf n'a d'égal que leur amour pour les femmes : Leroy Grannis et Will Adler.
Dossier presse
Olivia Fougeirol, Marianne Barthélémy, Christa Funk, Camille Robiou du Pont, Maria Fernanda, Sara Guix, Tahnei Roy, Cristina Gareau, Karo Krassel, Ming Nomchong,Serena Lutton , Will Adler, Leroy Grannis,
Surfin’Girl Surfing
Susan Meiselas, Reine Paradis, Vincent Mercier , Niv Rozenberg
Portfolios
Du 6 février au 6 avril 2024 la galerie vous emmène d'est en ouest des Etats Unis avec les Portfolios de Susan Meiselas et sa série sur les Prince Street Girls de Little Italy , Niv Rozenberg et les sommets New Yorkais pour la côte est et ceux de Reine Paradis et ses auto fictions et Vincent Mercier à Palm spring pour la côte ouest.
Dossier presse
Carl Corey
Entre chien et loup
L'exposition "Entre chien et loup" présente une série inédite avec plusieurs photos extraites de son dernier opus, The Strand, achevé en 2022 et réalisé dans la région des Grands Lacs .
Dans la lumière tombante du crépuscule comme à potron-minet, ces images montrent stations-service, diners, voitures à l'arrêt et rues désertes, toutes composées à partir d'un centre lumineux irradiant, laissant les bords se fondre dans l'obscurité. La présence humaine y est une apparition furtive. Elles ne sont pas sans évoquer Eggleston, Stephen Shore ou encore la peinture d'Edward Hopper. Dans ses clichés, aucune excitation visuelle, mais des lumières tendres au service de cadrages amples et cinématographiques, une ambiance de polar, racontant l'aventure d'un voyageur sentimental soucieux d'enregistrer une Amérique qui change.
Dossier presse
Kristin Bedford - Niv Rozenberg
Les couleurs de l’Amérique
L’exposition « les couleurs de l'Amérique » présentée à la galerie jusqu’au 28 octobre 2023 vous permet de découvrir ou de redécouvrir le travail de Kristin Bedford et de Niv Rozenberg deux artistes qui nous montrent une Amérique différente aux images fortes en couleur .
Kristin Bedford est connue pour ses portrait de mouvements culturels américains et plus précisément ici pour son dernier travail explorant la culture du « Low riding » à Los Angeles en Californie. Les images de Kristin offrent un nouveau récit visuel autour de la tradition Lowrider ..Situées à l’intersection de l’esthétique et du réalisme social ses photographies couleur doublées d’un point de vue féminin offrent un regard original sur un mouvement américain prolifique.
Niv Rozenberg explore les complexités de l’environnement urbain, passant de la photographie directe à la manipulation numérique. Il photographie des bâtiments à côté de l’endroit où il vit à New York depuis les toits ou du niveau de la rue et pour mieux souligner leur unicité en les séparant du bruit visuel de leur environnement il utilise la manipulation numérique déconstruisant ces façades en les réduisant à une variété de formes et de couleurs.
Dossier presse
Leroy Grannis , Ron Church, Morgan Maassen, Will Adler
SURFIN’USA
Comme chaque année à cette période, la galerie vous donne rendez vous avec l'univers du Surf. L'invité principale pour cette exposition 2023 est Leroy Grannis , le photographe qui a saisi le surf au moment ou celui ci passait du statut de loisir à celui de Culture. Il a été le témoin de la transformation de ce sport en mode de vie et a créé le pont entre les paroles des Beach Boys et la réalité du milieu du surf en Californie et à Hawaii.
A ses côtés un autre pionnier de la photo de surf, Ron Church dont les photographies constituent elles aussi une bonne partie des archives de photos emblématiques du surf et de l’histoire des cultures californiennes des années 60.
Deux jeunes talents les accompagnent Morgan Maassen et Will Adler bien connus des jeunes surfers d'aujourd'hui pour leurs images et leurs films sur cet univers fascinant qu'est le surf .
Dossier presse
Carl Corey, Niv Rozenberg, Jerry Takigawa
En attendant le surf
En attendant le rendez vous annuel autour du surf avec cette année un focus sur le travail de Leroy Grannis et de Ron Church nous vous proposons de venir redécouvrir 3 artistes présentés dans l'année qui vient de s'écouler ..
3 visages de l'Amérique avec des projets très personnels autour de l'architecture ( Niv Rozenberg), d'un recit familial personnel (Jerry Takigawa) et de la photographie documentaire (Carl Corey ).
Dossier presse
Jerry Takigawa
Balancing Cultures
La Galerie Catherine et André Hug présente pour la première fois en France le travail de Jerry Takigawa , « Balancing Cultures ».
Suite au bombardement le 7 décembre 1941 de Pearl Harbor par les japonais , les Etats Unis déclarent la guerre au Japon le 8 décembre 1941 précipitant les américains dans la Seconde Guerre mondiale. Début 1942 le décret EO 9066 du président Roosevelt autorise la création de zones militaires aux États-Unis qui serviront à l’internement des Américains d’origine japonaise.
Pour les grands-parents immigrés et les parents nés aux États-Unis de Jerry Takigawa cette condamnation sera vécue comme un rejet catégorique par le pays qu’ils appelaient leur maison.
Dans Balancing Cultures, Takigawa s’engage dans un récit familial personnel, construisant et photographiant des collages assemblés à partir de la collection de photographies, de papier et reliques de leur emprisonnement.
Dossier presse
Kristin Bedford
Cruise Night – Vernissage 3 novembre 2022 à partir de 18h
« Cruise Night » est une plongée dans l’univers fascinant des « lowriders » . Pendant cinq ans, Kristin Bedford a suivi des adeptes de cette activité issus de la communauté mexicaine de Los Angeles. Loin des clichés, « Cruise Night » nous montre les décors et l’envers du « lowriding ». Une forme d’art à part entière, beaucoup moins triviale qu’il n’y paraît . Le principe général : abaisser au maximum le châssis de son véhicule, monté sur suspensions hydrauliques. Au-delà, les possibilités sont infinies…
Né dans les années 1940, le phénomène a pris peu à peu de l’ampleur au sein de la communauté d’origine mexicaine en Californie, jusqu’à devenir un vecteur d’affirmation.
Dossier presse
Niv Rozenberg
« Summit »
Dans sa série « Summit », Niv Rozenberg se concentre sur le paysage urbain unique de New York.
Rosenberg a photographié des bâtiments à côté de l’endroit où il vit à New York, à la fois depuis les toits et au niveau de la rue. En utilisant la manipulation numérique, il déconstruit ces façades en les réduisant à une variété de formes et de couleurs et souligne leur unicité en les séparant du bruit visuel de leur environnement, il,explore ainsi les complexités de l’environnement urbain, passant de la photographie directe à la manipulation numérique. En se concentrant sur une façade isolée, il est capable de déconstruire l’architecture et L’image devient une relique abstraite en deux dimensions.
Dossier presse
Will Adler , Morgan Maassen, Mark McInnis
Surf etc
Comme chaque année la Galerie Catherine et André Hug présente en juin et juillet une sélection des images des jeunes talents de la photographie de surf.
Dossier presse
Carl Corey
Americaville
La Galerie Catherine & André Hug présente pour la première fois en Europe les photographies de Carl Corey dans une exposition intitulée Americaville. Carl Corey est un photographe dont le travail se concentre sur le paysage culturel américain avec un regard sur les zones d'importance historique. Carl connaît intimement son pays grâce à des voyages qui le traversent de part en part, éclairant les petites communautés et les lieux habituellement invisibles. Ses observations sont comme des cartes postales singulières qui identifient les points de repère physiques et sociétaux. Corey documente le passé et le présent et les regroupe dans une même temporalité.
Dossier presse
Olivia Fougeirol
Plein soleil
Plein soleil. Lumière crue du soleil de midi qui révèle les carrosseries des voitures comme des sculptures et donne à la nature l'aspect d'une présence toxique.
Dans cette extra luminosité, tout semble avoir basculé dans un relief particulier en résonnance avec l'identité-fiction de la ville même.
Dossier presse
Exposition Collective
Exposition d’Hiver
La galerie a rassemblé les œuvres des artistes ayant fait l'actualité de celle ci au cours de l'année 2021 .
Des pièces uniques de Joni Sternbach au portfolio d'Eric Tabuchi en passant par Terri Loewenthal, Vincent Mercier etc.. une cinquantaines de photographies sont exposées jusqu'au 29 janvier 2022
Dossier presse
Edward Burtynsky - Eric Tabuchi ........
Another look at Man-Altered Landscape
“Another look at Man-Altered Landscape” fait le point sur une situation devenue critique, à travers les regards croisés d’Edward Burtynsky, d’Éric Tabuchi et d’une vingtaine de photographes internationaux.
Un charnier de pneus usagers en Californie, une décharge de plastique à Nairobi, un cimetière de la marine marchande au Bangladesh… Présentés en partenariat avec le Centre Culturel Canadien, quatre grands formats alarmistes d'Edward Burtynsky capturent les dérives de l’ère anthropocène.
Issue de son Atlas des Régions Naturelles documentant l’architecture vernaculaire française, la série “Camouflage” d’Éric Tabuchi offre un contrepoint ironique : six formes végétales y masquent des ruines industrielles, questionnant l’aménagement du territoire.
Deux visions engagées avec lesquelles résonnent celles de Xavier Beaumont, Elizabeth Bourne, Garry Bowcott, Bill Leigh Brewer, Owen Davies, Fabien Dendievel, Ted Diamond, Alexander Dumarey, Chris Faust, Andy Feltham, Jacques Gautreau, Stéphane Goin, Paul Hamelin, Andrea Kunstle, Markus Lehr, Chris Leslie, Ian Lindo, Doug B Richardson, Marco Rizzo, Alexis Toureau, Paul Turner, et Avard Woolaver
Dossier presse
Natalie Christensen
Limits
Natalie Christensen a un don inimitable pour explorer les paysages périphériques les plus banals, ceux qui passent souvent inaperçus pour l'observateur occasionnel. « J'ai rapidement pris conscience que ces moments isolés dans le paysage suburbain étaient riches en métaphores. Portes fermées et ouvertes, parkings vides et piscines oubliées m'attirent ... "
Les symboles et les espaces dans ses images sont une invitation à explorer un monde riche caché à la conscience et une incitation à contempler des récits qui n'ont pas de vie remarquable mais qui puisent dans quelque chose de profondément familier , souvent dérangeant, parfois amusant.. .incontestablement présent.
Dossier presse
Morgan Maassen - Will Adler
Pacific Wave
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Comme chaque année à cette période la Galerie Catherine et André Hug vous donne rendez vous autour du surf et son style de vie.
Pour cette exposition « Pacific Wave » la galerie présente les œuvres de Morgan Maassen et Will Adler , jeunes Californiens originaires de Santa Barbara ayant grandis en surfant sur les vagues du Pacifique.
Aujourd’hui , devenus des références en matière de photographies de surf , ils nous livrent tous deux leurs regards décalés sur le monde du surf et leurs images ou les bleus vibrants se disputent aux verts de la mer et ou les portraits dramatiques en noir et blanc font allusion à l’existence d’un autre monde sous la surface..
Derrière l’esthétique décontractée de leurs photographies se cache un travail, une discipline et une technique très rigoureuse . Etre confronté aux contraintes techniques de la photographie de surf tout en attrapant la meilleure vague n’est pas chose facile mais tout cela semble naturel pour eux.
Dossier presse
Reine Paradis
From « Jungle » to « Midnight »
Depuis 2014 , Reine construit des photographies narratives en se mettant en scène dans un paysage surréaliste. Dans ses images Paradis est vêtue de costumes de couleur orange ou vert lime et interagit dans des paysages aux couleurs intenses. Shootée dans de nombreux endroits à travers l’Amérique, les séries photos «Jungle» et « Midnight » nous emmènent dans un voyage introspectif à travers un monde symbolique et chromatique, projeté au-dessus des limites de la réalité et de l’imagination. Toutes les images sont imaginées et conceptualisées avant d’être shootées dans des endroits réels. Une fois que la scène est visualisée dans sa totalité, Paradis fait des croquis et peint une maquette qui sert ensuite de référence lors de la photographie de la scène finale. Tous les costumes, accessoires et origamis sont méticuleusement conçus et préparés par l’artiste selon la vision initiale de la scène. Chaque photo est une aventure et une histoire en elle-même.
Dossier presse
Terri Loewenthal
Psychscapes
La Galerie Catherine & André Hug présente, dans le cadre du festival PhotoSaintGermain, une exposition de la photographe américaine Terri Loewenthal. Basée à Oakland, Terri étudie dans ses travaux récents les correspondances entre paysage et psyché. Sa dernière série «Psychscapes» explore les vastes étendues de la terre et du ciel, romancées par le mythe éternel d’une Californie utopique.
Ces « paysages psychologiques » sont autant de photographies à la chambre réalisées à l’aide d’optiques spécifiquement conçues par l’artiste afin de convertir l’espace en un environnement complexe et suggestif.
Dossier presse
Olivia Fougeirol
Last Summer, Blue.
« Last Summer, Blue. » est composé d’une sélection de photographies enregistrées durant plusieurs années pendant lesquelles l’artiste a photographié des « vides maisons » en différents lieux de Los Angeles, intriguée par cette possibilité de pouvoir pénétrer dans l’intimité de ces maisons individuelles au moment de la dispersion des objets qui en constituaient l’atmosphère. Elle a ensuite opéré un « entrelacement » avec un travail plus récent sur le corps et l’exploration du désir dont l’intimité vivante se décèle aussi dans ses habitations vidées de leurs habitants. La lumière californienne est le lien entre ces entrées photographiques, une lumière caractéristique, intense et parfois brutale et qui dans les intérieurs se révèle enveloppante et cinématique, dictant son propre scénario. « Last Summer, Blue. » est une série sur le départ, ce qui s’échappe avec le temps et ne reviendra jamais. Ce portfolio rassemblant 15 photos comme autant de petites brèches dans la banalité du quotidien est une invitation silencieuse à percevoir ce mélange d’intimité que dégage une maison et celle d’un corps en présence.
Dossier presse
Ron Church - Will Adler - Joni Sternbach - Mark McInnis
Beyond Surf
La galerie a réuni 3 artistes autour du travail de Ron Church , l un des photographes pionniers de la "culture surf" en Californie et à Hawaii dans les années 1960. Les photographies du jeune Will Adler , les pièces uniques de Joni Sternbach et les oeuvres de Mark McInnis comme celles de Ron Church capturent la culture surf de leur l’époque , à la fois l’action sur l’eau mais aussi plus largement le mode de vie des surfers et de leur famille.
Dossier presse
COSTANZA GASTALDI
LOTO NERO
« Loto Nero » est un projet photographique né d’un voyage en solitaire en septembre 2018 dans les montagnes de Huangshan, situées dans les provinces orientales de la Chine. L’exposition présente des héliogravures réalisées par le maître d’art Fanny Boucher des ateliers Helio’g. La redécouverte de cette technique photographique originale confère à « Loto Nero » une esthétique profonde où les noirs sont soulignés comme par magie. Dans cette série les conifères tourmentés dansent et répondent aux mouvements erratiques de la brume avec la même grâce que celle que l’on ressent en regardant des peintures classiques. Si ces images ressemblent à des peintures, c’est en un sens, pour mieux être des photographies.. Costanza aime cultiver dans chacune de ses séries une ambiguïté qui met à mal la « pureté » des genres afin de faire saisir la puissance interprétative et fictionnelle de la photographie sans annihiler sa spécificité.
Dossier presse
VINCENT MERCIER
CALIFORNIA
Les photographies de Vincent Mercier travaillent presque toujours la collision du présent et du passé, il est aux aguets d’une couleur perdue, fragile, revenue de loin, même si la prise date d’ici et maintenant. C’est son alchimie particulière, un peu mystérieuse, un travail sans doute très technique sur les couleurs que le profane ne sait pas définir ; tout ce qu’il sentira, c’est un souffle subtilement vintage l’étourdir un instant. Aujourd’hui ou demain, ces images auront toujours leur place, celle d’une Amérique idéalisée qui laisse transparaître des températures extrêmes et un silence de mort. Le papier mat, sec, rappelle ces paysages désertiques, empreints de solitude. Une aventure photographique qui se construit comme un road movie. Sans plan de route précis, le photographe suit son instinct et s’arrête à chaque fois que quelque chose accroche son oeil. Une voiture , une façade aux couleurs passées, la projection d’une ombre sur un mur ou des panneaux aux messages éloquents.
Dossier presse
WILL ADLER
SEA LEVEL
La Première exposition personnelle de Will Adler à la galerie , « Sea Level », présente une dizaine de photographies dépaysantes qui nous font basculer dans et hors de la réalité, le tout souvent avec un clin d’œil humoristique. Que ce soit pour son travail personnel ou pour des marques comme Nike, Patagonia ou Quiksilver, les images de Adler ont un style distinct et brillant qui crée une intimité rare dans son domaine . Capturer les moments intermédiaires (un chien qui regarde son propriétaire pagayer de la plage; une mouette posée sur un mur) est le genre d’expériences communes que nous fait partager Adler qui parvient à nous toucher avec son style onirique. Connu pour ses photos sur le monde du surf, ses images à la lumière diffuse traduisent l’esprit et l’atmosphère du lieu autant que l’action du sport et lui ont values un véritable culte dans le cercle de la photographie de surf .
Dossier presse
ERICH HARTMANN
LA POÉSIE DU QUOTIDIEN
L’exposition « Erich Hartmann, la poésie du quotidien » est née d’une rencontre entre les galeristes Catherine et André Hug et Anna-Patricia Kahn qui dirige CLAIRbyKahn Gallery et d'un coup de coeur pour l’oeuvre d’Erich Hartmann. Ils décident alors de donner une carte blanche à la galerie CLAIRbyKahn qui représente les archives du photographe né à Munich en 1922 et décédé en 1999 à New York. La poésie subtile, mystérieuse qui émane des images d’Erich Hartmann, le jeu d’ombres et lumières autour des sujets et objets est saisissant mais toujours respectueux. Hartmann embrassait du regard et avec son appareil, lieux, objets et êtres, sans les brusquer, mais en les redécouvrant. 27 photographies autour de ce quotidien magnifié seront présentées. Tous les tirages sont d’époque (vintages) et présentent la particularité d’avoir été tirés par Hartmann lui-même.
Dossier presse
ENDIA BEAL
AM I WHAT YOU’R LOOKING FOR?
La galerie Catherine et André Hug présente « Suis-je bien celle que vous cherchez ?», une exposition d’Endia Beal dont le travail a été réalisé avec des fonds de la Fondation Magnum. Ce projet propose une enquête approfondie sur les expériences et les craintes d’être une femme de couleur dans les entreprises américaines en saisissant leurs difficultés et leurs incertitudes quant à la meilleure façon de se présenter . Lorsque les jeunes femmes posent, elles se souviennent de leurs d’entretiens et expliquent comment les employeurs ont critiqués leurs cheveux naturels et/ou leur nom trop difficile à prononcer suggérant qu’elles le modifient pour le poste. Beal, qui a obtenu un MFA de Yale, propose une réflexion douce-amère sur la position des femmes noires dans le monde du travail.
Dossier presse
REINE PARADIS
MIDNIGHT
Reine Paradis travaille ses différentes séries, chacune avec sa propre couleur de contrepoint (orange foncé aveuglant, citron saturé), le bleu est la constante. Dans son travail le plus récent, le bleu est rejoint par un certain vert lime. Alors que le bleu est déployé principalement dans sa place de ciel quasi naturelle ou peut-être comme une sorte de sol aquatique, le vert est utilisé pour les costumes, accessoires et sculptures qui retracent les éléments du récit. Pour son entreprise, il est essentiel que les scènes imaginées soient «réellement photographiées», ce qui signifie que des images de scénarios élaborés, optiquement chargés mais fondamentalement analogiques, sont prises. L’animation de ces fictions sur place est la figure de l’artiste elle-même, l’héroïne vivante de sa propre histoire mécanique et un autre objet parmi tant d’autres. La photographie devient alors le seul moyen pour elle de créer un monde qui existe entre la réalité et l’imagination.
Dossier presse
MONA KUHN
« NEW WORKS PART II »
Catherine et André Hug présentent une sélection de photographies des deux dernières séries de Mona Kuhn. Dans la série « She desappeared in complete silence » son récit visuel est passé du nu exprimé dans le corps physique aux expressions abstraites du corps. La lumière du désert et l’architecture en verre de la maison de Robert Stone « Acido Dorado » ont constitué la plate-forme idéale pour créer une certaine magie dans ce désert surréaliste de Joshua Tree. Tandis que les nouvelles œuvres de sa dernière série « Poem » ont, elles, été photographiées dans les Landes où l’artiste a photographié la forme humaine avec une intimité et un réalisme si tendre et plein d’allégresse qu’il devient poésie des corps.
Dossier presse
JONI STERNBACHH
LE LONG DE L’OCÉAN
L’exposition présente une vingtaine de photographies de l’artiste new-yorkaise Joni Sternbach. « Le long de l’Océan » regroupe trois corps de travaux , tous réalisés le long du littoral et capturés sur différents supports. L’utilisation par Sternbach de techniques historiques (cyanotype, ferrotype et ambrotype) et d’équipements, dont un Petzval 1840, fait partie de sa conversation permanente avec l’histoire.
La série la plus célèbre de Sternbach: « Surfland », une collection de portraits de surfeurs pris sur les plages du monde entier à l’aide du processus de collodion sur plaque humide du 19ème siècle, est au centre de l’exposition.
« Les images de surf sont traditionnellement des études en mouvement mais Joni Sternbach, qui a passé les douze dernières années à faire des photos grand format de surfeurs sur les plages du monde entier, nous donne à voir quelque chose de différent: une sorte d’étude ethnographique, des portraits argentés d’une tribu unis par le sens de l’aventure, l’amour d’un sport et une connexion à l’océan. » Diane Cardwell, NY Times
Dossier presse
GROUP SHOW
PORTFOLIOS
Jusqu’au 30 Mars 2018 La Galerie Catherine et André Hug vous invite à entrer dans l’univers de cinq formidables artistes par le biais de leur Portfolios donnant une vision globale d’une de leur série en particulier tout en permettant de voir un projet photographique dans son ensemble. De Susan Meiselas et ses « Prince Street Girls » ( 1976 ) qu’elle a photographiées et vues grandir dans le quartier de Little Italy à New York à Kourtney Roy qui se photographie dans la petite ville Canadienne de son enfance en passant par Reine Paradis et son voyage introspectif au cœur de l’Ouest Américain qui est également au centre du Portfolio de Vincent Mercier et enfin le Portfolio de Philippe Chancel initié en 2005 sur 14 territoires emblématiques .
Dossier presse
PHILIPPE CHANCEL
DATAZONE #13
Dans le cadre de Photo Saint Germain la Galerie Catherine et André Hug présente le projet réalisé en Antarctique par Philippe Chancel en 2017 : « Datazone 13″.
Les 30 premières années du 20ème siècle furent le temps des découvertes du continent antarctique, le temps des pionniers , le temps de noms devenus des légendes attachés aux terres glacées qu’ils ont explorées dans des conditions extrêmes . Avec les 30 premières années du 21ème siècle est venu le temps des interrogations sur ces beautés vierges menacées par de terribles dangers et un possible désastre. Des faisceaux d’indices de plus en plus nombreux en attestent. Lors de son premier voyage dans la péninsule antarctique Charcot écrivait : « C’est tellement beau qu’en me demandant si je rêve, j’aimerais rêver toujours. On dirait les ruines d’une énorme et magnifique ville toute entière du marbre le plus pur dominé par un nombre infini d’amphithéâtre et de temples édifiés par de puissants et divins architectes ». Cette vision de Charcot du continent antarctique à la fois prophétique et poétique tourné vers les mythologies et les réalités mêlant vues de l’esprit et points de vues d’un découvreur existe-elle encore aujourd’hui dans ce confins de la terre ?
Dossier presse
KOURTNEY ROY
« SORRY NO VACANCY »
La Galerie Catherine et André Hug présente la troisième exposition personnelle de Kourtney Roy. Dans la continuité de son travail, Kourtney Roy utilise sa propre image pour en faire un personnage dans un monde débordant d’associations et de scénarios étranges et mystérieux.
Dans « Sorry, No Vacancy » l’artiste a convoqué l’ineffable dans les espaces immenses et isolés du Sud Ouest du Texas. Les décors de cette série sont des lieux en marges et transitoires ; des autoroutes lointaines, des magasins de souvenirs abandonnés et des villes esseulées qui semblent flotter sur le paysage telles des images fantômes d’un passé révolu.
Dossier presse
REINE PARDIS
JUNGLE
Shootée dans de nombreux endroits à travers l’Amérique, la série photo «Jungle» nous emmène dans un voyage introspectif à travers un monde symbolique et chromatique, projeté au-dessus des limites de la réalité et de l’imagination.
Toutes les scènes sont imaginées et conceptualisées avant d’être shootées dans des endroits réels. Une fois que la scène est visualisée dans sa totalité, Paradis fait des croquis et peint la scène qui sert ensuite de référence lors de la photographie de la scène finale. Tous les costumes, accessoires et origamis sont méticuleusement conçus et préparés selon la vision initiale de la scène.
Chaque scène est une aventure et une histoire en elle-même.
Dossier presse
VINCENT MERCIER
441 PALM SPRINGS
Les photographies de Vincent Mercier travaillent presque toujours la collision du présent et du passé, il est aux aguets d’une couleur perdue, fragile, revenue de loin, même si la prise date d’ici et maintenant. C’est son alchimie particulière, un peu mystérieuse, un travail sans doute très technique sur les couleurs que le profane ne sait pas définir ; tout ce qu’il sentira, c’est un souffle subtilement vintage l’étourdir un instant. L’architecture le passionne et marque ses images, ordonnées et géométriques. Des lignes interfèrent dans ses paysages. C’est son Amérique à lui que Vincent Mercier décrit, marqué par l’empreinte indélébile que lui ont laissé les jeux de son enfance. Coloriste, il maîtrise une couleur qui donne à ses images une texture singulière. Telles des peintures d’Edward Hopper, les rares personnages sont figés dans un temps qui semble suspendu à la suite du voyage. Ce temps s’est arrêté dans la mémoire du photographe qui souhaite vivre éternellement cet instant. Aujourd’hui ou demain, ces images auront toujours leur place, celle d’une Amérique idéalisée qui laisse transparaître des températures extrêmes et un silence de mort. Le papier mat, sec, rappelle ces paysages désertiques, empreints de solitude. Seul, Vincent Mercier ne cherche pas l’autre dans ses photographies, mais va à la rencontre de ces paysages solaires et silencieux.
Dossier presse
MONA KUHN
« NEW WORKS »
Dans la cadre de Photo Saint Germain la Galerie Catherine et André Hug présente « Mona Kuhn , New Works » , une sélection de photographies issues des deux dernières séries « Private » et « Acido Dorado » de Mona Kuhn. Mona Kuhn commence chaque série avec une palette spécifique de couleurs et d’ émotion à l’esprit . Chacune d’elle est comme une ballade lyrique, ouvrant un dialogue sur l’interaction du corps humain avec son environnement physique. « Private » et plus particulièrement « Acido Dorado » la voient élargir sa palette, tournant son attention vers le paysage et les relations du corps à l’architecture. La série Acido Dorado se situe à l’intérieur de la structure moderniste du même nom, de l’architecte Robert Stone dans le parc national de Joshua Tree en Californie. Dans cette maison ou tout n’est que verre, reflets et miroirs et ou l’impression d’être à la fois à l’intérieur et à l’extérieur prédomine , Mona a utilisé le verre comme surface pour son travail et a observé comment la lumière du désert créaient des formes selon les moments de la journée, elle a ainsi photographié plus qu’un nu : une abstraction de nu. Pour Private Mona Kuhn a pénétré le cœur du désert américain, elle a voyagé dans les régions du Mojave et de l’Arizona, entrant pour la première fois dans les parties éloignées d’une réserve Navajo, des zones proches du James Turrel’s Roden Crater. « Private « propose un monde dans lequel la réalité concrète et la réalité imaginaire ne font qu’une. Des plantes et des animaux au bord de la survie, des paysages baignés de soleil et une terre sculptée par le vent sont entrecoupés par une série de nus qui poussent la sensibilité renommée de Kuhn à la forme humaine dans des directions inattendues.
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WILL ADLER ET MORGAN MAASSEN
PACIFIC
La galerie continue son exploration du rêve américain et prolonge l’été avec l’ exposition « Pacific » de Will Adler et Morgan Maassen.
Will Adler est un jeune photographe de 30 ans basé à Los Angeles connu pour ses photos sur le monde du surf. Ses images à la lumière diffuse traduisent l’esprit et l’atmosphère du lieu autant que l’action du sport et lui ont values un véritable culte dans le cercle de la photographie de surf. Il montre des images de la Californie qu’il réalise pour lui-même et pour des magazines tels que Juxtapoz, Neon, Surfer, WAX, et The New Yorker. Pour son exposition à la galerie Hug, Will Adler a invité un de ses amis : Morgan Maassen » ,un jeune photographe et cinéaste vivant à Santa Barbara, à exposer avec lui. Ils adoptent tous les deux une approche très décontractée dans cette série de paysages de bord de mer ou l’accent est mis sur le plaisir sensuel plus que sur l’ exploit sportif.
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PHILIPPE CHANCEL
DRIVE THRU
La Galerie Catherine et André Hug présente la série « DRIVE THRU » de Philippe Chancel . Flint, USA est le onzième point cardinal de la constellation Datazone. Voisine de Detroit, aujourd’hui ville abandonnée à une désindustrialisation désastreuse, la ville fût jadis le fief de General Motors, employeur principal et créateur de l’objet culte du bonheur à l’américaine. Si les années 40 ont vu les Buick Roadmaster ou ,lylark devenir les stars du grand écran hollywoodien, les modèles Riviera, Gran Sport ou Wildcat, ont été les compagnes des héros d’action de séries télévisées, la Special a incarné le bonheur familial de l’American Dream. Accomplir le Rêve Américain c’était aussi posséder, une Dream House. Un idéal utopique, fondé sur la maison individuelle plutôt que la construction d’une ville, – garantie de paix sociale et du développement économique : construire des maisons pour les remplir de toutes sortes d’équipements, et pouvoir s’y rendre en voiture. Mais Flint est aujourd’hui exsangue. En approche, Philippe Chancel accomplit la traversée des lignes graphiques et temporelles d’une photographie de Walker Evans. Puis à sa manière, le photographe s’immerge dans les quartiers à l’abandon, pénètre les maisons délaissées, et pose son regard sur les vies occultées, – jusqu’au réveil brutal d’un état d’urgence -déclaré par Barack Obama en 2016, pour pollution mortelle de l’eau par le plomb, conséquence néfaste du rasage au sol des usines. Philippe Chancel affine son approche documentaire, avec une écriture cohérente : le présent est la force qui l’oblige à revenir à l’essentiel, à rester centré, classique, sans effet et à saisir avec précision. En prenant de la hauteur, il cartographie la disparition en une proposition de territoires à reconquérir. Ses photographies réveillent notre humanité, car de leur présence naît la lueur d’un possible renversement.
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SUSAN MEISELAS
CROSSINGS
La Galerie Catherine et André Hug présente la série « Crossings » réalisée en 1989 par Susan Meiselas.
Au cours d’un long parcours photographique empreint de la temporalité de son époque, engagée sur les sujets qui méritent le regard du témoin de l’histoire et solidaire avec les peuples en errance, Susan Meiselas accompagne les migrants alors qu’ils tentent de franchir la frontière américano -mexicaine. La série Crossings sera exposée pour la première fois en 1990 au Art Institute de Chicago, elle incarne le risque engagé par des hommes et des femmes pour franchir cette frontière, ligne de démarcation entre deux Amériques, entre deux réalités et point d’entrée vers une vie meilleure incarnée par le rêve américain, symbole de liberté et de démocratie.
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GROUP SHOW
AMERICAN DREAM
Pour leur première exposition à la galerie Catherine et André Hug le duo d’artistes Sylvie Meunier et Patrick Tourneboeuf nous présente un projet partagé entre distance et tendresse qui nous plonge dans l’Amérique des années 50, dans cet âge d’or d’après guerre où tout semble possible et tout est en place pour incarner cet American Dream.
Dossier presse
KOURTNEY ROY
ENTER AS FICTION
Dans le cadre de Photo Saint Germain la galerie Catherine et André Hug présente la deuxième exposition personnelle de Kourtney Roy dont les autoportraits vous emmène dans un road trip à travers les paysages désertiques de l’ouest des Etats Unis. Kourtney aime raconter des histoires un peu mystérieuses ou le merveilleux surgit dans la banalité du quotidien. Le cinéma comme la littérature sont des sources d’inspiration essentielles et ses photos sont comme des images de films : des petits bouts de fiction.
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RAYMOND DEPARDON
MANHATTAN OUT
En 1980, Raymond Depardon vient d’intégrer l’agence Magnum et pour sa série Manhattan Out il se rend à New York avec une amie. Chaque jour, il prend son appareil, l’enfile autour du cou et photographie sans pointer, depuis sa poitrine, au fil de ses errances journalières.
L’année suivante à l’été 1981, le photographe retourne à New york et entame La Correspondance New Yorkaise pour Libération. Chargé d’envoyer une photo quotidienne et légendée de la grosse pomme au journal il livre une vision très personnelle de New-York, à travers les yeux tristes d’un homme en constante réflexion sur le monde qui l’entoure.
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MAROESJKA LAVIGNE
ISLAND
Island, est la première exposition solo de Maroesjka Lavigne à la galerie Catherine et André Hug . En 2012, à 21 ans, la jeune photographe passe quatre mois à conduire à travers l’Islande, seule, attirée par la nudité du paysage. Plutôt que de saisir un paysage poétique plein de sources azures et de neige silencieuse, les images fortes et cinématiques de Lavigne racontent un quotidien hors du commun. Partout, toujours, des nuances de blanc. La neige est devenue un décor sans forme, indéterminé mais infiniment malléable. Elle avale le sol et le ciel ; elle recouvre les bus, les bateaux, et les touristes intrépides . La série Islande de Lavigne a été sélectionnée par Foam Magazine comme finaliste du prestigieux Foam Talent Call, a gagné le grand prix de Lens Culture pour photographes jeunes et émergents. Lavigne vit et travaille à Gand, en Belgique ou elle a obtenu un master de photographie en 2012
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COLLECTIF
WINTER SHOW
Maroesjka Lavigne, Ebbe Stubb, George Tatge, Tribble & Mancenido
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MIKI NITADORI
ODYSSEY
Dans le cadre du mois de la photographie organisé par la Maison Européenne de la Photographie la Galerie Catherine et André Hug présente « Odyssey » de Miki Nitadori sous la délégation artistique de Valérie Fougeirol ( Thématique « Anonymes et amateurs célèbres). Pour cette exposition à la galerie Miki s’est intéressée et inspirée de l’immigration japonaise à Hawaï qui a commencé à la fin du 19ème siècle. Les principaux travaux présentés dans l’exposition sont ces photographies américano-japonaises du début du 19e siècle jusqu’aux années 1950 que Miki a scannées, agrandies et manuellement transférées sur des tissus imprimés représentant pour elle la diversité des modèles culturels, traditionnels et symboliques qui reflète l’environnement et la communauté
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COLLECTIF
OBSERVE PERPETUALLY
La galerie présente une exposition de photographies en noir et blanc autour du paysage. Les travaux de George Tatge ,Adam Katseff, Stuart Franklin( Narcissus) and Shinya Ichikawa (Mother lake) répondent à Virginia Woolf qui recommande « Observe, observe perpetually » jusqu’à apprécier la dimension spirituelle du paysage…
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JESSICA CRAIG MARTIN
THE OPTIMISTS
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Jessica Craig-Martin dans son exposition « the optimists » à la galerie Catherine et André Hug dévoile une fois de plus la distance entre l’hypocrisie des magazines people et la réalité qui se cache derrière. « Je ne m’intéresse pas à l’individu mais à la célébration compulsive, au voyeurisme, au jugement et à la consommation ostentatoire qui sont inhérents à notre culture. Je trouve la beauté dans l’optimisme, sans doute erroné, comme l’est peut-être toute forme d’optimisme. Ma caméra veut éradiquer l’individu. Je vois mon travail comme des études abstraites de paillettes, de mollusques expulsés et de visons climatisés. La vanité, l’excès, la vulnérabilité, les rituels sociaux obscures, la carapace qui se fissure. Imaginer les Oscars est plus merveilleux que d’y être. Le glamour est un mirage. Si on s’en approche, il s’évapore. » JCM
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KOURTNEY ROY
FIXED IN NO-TIME
Kourtney Roy mêle la fiction et l’autoportrait à travers des personnages de femmes trop parfaites encapsulées dans la banalité d’une autre époque..Dans sa superbe présence, l’héroïne attend l’autre pour lui donner un sens et ses autoportraits sont des films à usage unique.
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ACEY HARPER
NO LIMITS 2
Pour sa deuxième exposition à la galerie Acey Harper continue à nous surprendre avec ses artistes si athlétiques qu’il a photographié dans des lieux totalement inattendus, sans maquillages, sans costumes ou éclairage artificiel . « J’ai toujours essayé de faire en sorte que l’acrobate et le paysage ne fassent qu’un” dit Acey Harper et c’est ainsi que ses sujets pendent des arbres, sont suspendus à des chaines ou des poutres anciennes, flottent au dessus de l’eau ou remplacent des gargouilles sur des bâtiments.
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SUSAN MEISELAS
PRINCE STREET GIRLS
La galerie consacre une exposition personnelle à la grande figure du photojournalisme américain, Susan Meiselas (née en 1948) et plus particulièrement à l’un de ses anciens projets documentaires réalisés dans les rues de New York à la fin des années 1970. Dans son quartier de Little Italy, Susan Meiselas a photographié et regardé grandir « les filles de Prince Street ». Elle a capturé leur vie quotidienne, après l’école ou à la plage mettant principalement l’accent sur leurs relations intimes
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